Le Premier jardin
Espaces F, Matane
2020
Le Premier jardin est une terre sur laquelle s’est bâtie une ville, c’est une nature qui y reprend furtivement sa place. Ville presque fictive qu’on ne nomme jamais, qu’on ne voit presque plus, mais dans laquelle se trouvent des amorces d’histoires, des morceaux de vérités et de fictions aussi intangibles que la lumière qui se pose sur un mur, à la surface de l’eau ou sur les arbres en fleur. Au travers des détails fuyants de textures, de lumières, de la vie qui grimpe sur les rues et les bâtiments, la ville se révèle comme un personnage, comme un corps de femme, caché contre la rigidité des structures. Dans ce Premier jardin planté derrière les grandes façades qui guettent le fleuve, dorment des rôles envahissants, des vies éphémères, saisonnières, vivaces.
Suivant les parcours de la protagoniste du roman Le Premier jardin (1988) d'Anne Hébert, le projet s’inspire librement de la façon dont on y imagine une ville regardée par les yeux d’une actrice habitée par les femmes qui l’ont précédé, ainsi que par les rôles qu’elle a elle-même été appelée à jouer dans sa carrière et au fil des saisons de sa vie personnelle.
Impressions : Espaces F, VU et Version image plus
Encadrements : François Simard
Merci à Gentiane La France, Jacinthe Robillard et toute l'équipe d'Espaces F.
Espaces F, Matane
2020
Le Premier jardin est une terre sur laquelle s’est bâtie une ville, c’est une nature qui y reprend furtivement sa place. Ville presque fictive qu’on ne nomme jamais, qu’on ne voit presque plus, mais dans laquelle se trouvent des amorces d’histoires, des morceaux de vérités et de fictions aussi intangibles que la lumière qui se pose sur un mur, à la surface de l’eau ou sur les arbres en fleur. Au travers des détails fuyants de textures, de lumières, de la vie qui grimpe sur les rues et les bâtiments, la ville se révèle comme un personnage, comme un corps de femme, caché contre la rigidité des structures. Dans ce Premier jardin planté derrière les grandes façades qui guettent le fleuve, dorment des rôles envahissants, des vies éphémères, saisonnières, vivaces.
Suivant les parcours de la protagoniste du roman Le Premier jardin (1988) d'Anne Hébert, le projet s’inspire librement de la façon dont on y imagine une ville regardée par les yeux d’une actrice habitée par les femmes qui l’ont précédé, ainsi que par les rôles qu’elle a elle-même été appelée à jouer dans sa carrière et au fil des saisons de sa vie personnelle.
Impressions : Espaces F, VU et Version image plus
Encadrements : François Simard
Merci à Gentiane La France, Jacinthe Robillard et toute l'équipe d'Espaces F.